Préparez vos souliers

14 décembre 2008

Nicky a commencé à gâter ses amies pour Noël et à l'heure de préparer les souliers au pied du sapin, voici ce que j'y ai trouvé :

Il faudrait bien que je m'y colle aussi car, hélas, j'ai pris beaucoup, beaucoup de retard dans mes projets de fabrication.... Alors je vous laisse pour aller m'y mettre de nouveau et ne pas laisser à demain ce que je peux commencer à faire ce jour même !

Posté par mimiweb à 18:45 - Commentaires […] - Permalien [#]

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Commentaires

Mimiblue

16/12/2008 07:39

Belle histoire ! Si j'adore la tendre naïveté des enfants et tous les espoirs qu'ils mettent dans la venue du Père Noël, j'aime aussi les histoires de générosité. Celle-ci est vraiment attendrissante. Merci Marie France !!!!

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Nathalie L

15/12/2008 21:43

Bon je vais me coucher, je comprend plus rien, c'est le souvenir de Marie que j'adore. Et puis j'aime tout. Merci Marie, je suis heureuse de vous lire.

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Nathalie L

15/12/2008 21:42

Me suis trompée d'article, le commentaire précédent c'est pour celui de dessus MDR, et ton souvenir du Gabon vient de me mettre la larme à l'oeil, c'est malin, maintenant, je fais quoi, je pleure un bon coup. Merci Mimi, pour ce magnifique souvenir.

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Nathalie L

15/12/2008 21:41

Quoi déjà, chui en retard, chui en retard, chui en retard.

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marie

15/12/2008 15:29

Dans les années 70 nous vivions en Afrique, nos trois enfants étaient encore très jeunes, et attendaient le Père Noël en déposant leurs chaussures sous le filao local qui nous tenait lieu de sapin .<br /> En rentrant du travail le 24 décembre vers 18h, je trouve alignées une bonne douzaine de paires de chaussures inconnues, certaines neuves, sous "le sapin" . Et nos mignons de nous expliquer que leurs copains africains ne recevaient pas la visite du Père Noël dans leurs cases, que chez nous,il venait chaque année, qu'ils les avaient donc conviés à déposer leurs chaussures près des leurs , et qu'ils auraient des cadeaux eux aussi : généreuse intention!<br /> "Le Père Noël", pris de court laissa quelques bonbons dans les souliers, et une lettre expliquant qu'il n'avait pas reçu de commandes pour tant d'enfants, mais qu'il reviendrait sans faute dans deux jours, ce qu'il fit ! <br /> Il ne fut pas facile de trouver des jouets le 26 décembre dans des magasins qui avaient été dévalisés quelques jours auparavant.<br /> C'est un de nos plus jolis souvenirs du Gabon, et je raconte toujours l'histoire avec autant de tendresse .

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