Quoi de neuf, Docteur ?
Quoi de neuf ? Des cartons... Pas tous neufs, d'ailleurs. Mais ils se remplissent, s'empilent, s'amoncellent... Les pièces se vident. Drôle d'ambiance pour les quatre semaines à venir et impossible d'inviter quelqu'un d'ici là : on commence à manquer de tout. Où est la gomme blanche ? Emballée... Où sont les assiettes creuses ? Emballées.... Si on ne se décide pas à vider les étagères, nous serons en retard et ce que l'on vide aujourd'hui arrive à faire défaut demain.... Oooh... vivement que tout ça soit terminé. Quand je pense qu'il faudra tout ouvrir et tout relaver en arrivant...
Il y en a que ça laisse de marbre toutefois :
La photo est prise du dessus pour montrer la position incroyablement vrillée que prend systématiquement Gimmick en sommeil profond... J'en ai mal au dos rien qu'à le regarder.
Difficile période, pour notre Ragdoll préféré, que celle de la préparation du déménagement. Certes, en enlevant certains bibelots, on libère une place épatante aussitôt adoptée par le chat mais ces va et vient incessants, cette activité grouillante, ces cartons malodorants venus d'on ne sait où, nécessitent une surveillance constante : on ne sait jamais !
La salle de bain où il n'est pas question de laisser ma maîtresse seule : elle pourrait disparaître dans cette grotte sombre où l'on entend le monstre du tuyau. D'ailleurs, même pas drôle, le plombier est venu faire le nettoyage des canalisations et le monstre du tuyau a dû reculer parce que je ne l'entends presque plus meugler quand on vide le lavabo.
Il faut prendre de la hauteur et tout surveiller sérieusement ; quand ma maîtresse se brosse les dents, j'aime beaucoup aller voir, dans sa bouche, si la brosse passe bien partout. Non mais... des fois.... Cela dit, ça sent super fort, cette mousse... J'en ferme les yeux !
Maîtresse n'a pas pris de photo mais je fais pareil dans les toilettes. Si, si... Bien obligé... Voyez un peu ce que l'on me fait ces temps-ci :
Voilà le salon-bar où j'ai ma chambre. A peine on les laisse un dimanche matin tout seuls et regardez un peu ce que je trouve à midi :
Et attendez, ce n'est pas fini... A 18 heures, il ne restait plus que ça :
Je suis bien persuadé que si je ne veillais pas au grain, il n'y aurait plus rien !!! On me dit que c'est pour vendre le coin "bar" si quelqu'un veut venir le chercher.... Tiens, mon oeil, oui... On me dépouille, moi je dis... Alors je m'accroche à mon arbre à chat. Logique, non ?