J'étais à Gourdon, petit village verrier et potier du sud, non loin de Cannes et de Mandelieu. Vous me connaissez, je photographie beaucoup mais je photographie surtout les paysages quand, au détour d'une ruelle, j'ai été attirée par une boutique qui exhalait des senteurs provençales comme on les rêve devant une carte postale.
J'ai alors reçu un accueil tellement chaleureux et je me suis sentie si bien avec cette dame que j'ai pensé à Chiffon Brodeuse qui a l'art de présenter les boutiques qu'elle aime dans les villes et villages qu'elle visite. Elle le fait avec un talent énorme et transmet une vraie envie de marcher dans ses pas dans les lieux qu'elle présente.
Quand j'ai demandé l'autorisation de faire une photo pour parler de la boutique en ligne, la dame m'a ouvert toutes grandes les portes de son magasin nouveau : L'Esprit Nature. Elle y distribue des produits totalement naturels à des prix très abordables donnant ainsi à tous la possibilité de privilégier la qualité sans tomber dans certains pièges commerciaux (et de profit) du sacro-saint "Biologique". Ses produits le sont pourtant mais n'en font pas leur image essentielle ; ici on a voulu mettre en vedette la simplicité des produits issus de la nature, cultivés dans un environnement sain et exempt des produits chimiques employés à tire-l'arigot contre toute sagesse.... Enfin, mieux qu'un trop long discours, quelques clichés pour vous donner l'envie, quand vous irez visiter Gourdon, (car tout le monde va visiter Gourdon, c'est trop beau !), de chercher l'enseigne " L' Esprit Nature" :
Monter à Gourdon se mérite et je vous laisse juger de la petite route que vous apercevez dans le fond, accrochée à la paroi. Le fond de la vallée est plus bas encore !
Mais l'arrivée à Gourdon est aussi une belle récompense : le fond de la vallée en premier plan, la mer en arrière-plan. On m'a dit que souvent la vallée était envahie de brume mais, bien qu'il n'était que 10 heures à peine le matin à notre arrivée, le ciel était encore limpide.
Nombreuses sont les boutiques artisanales que vous aurez à visiter mais je n'ai pas résisté à illustrer le côté potier du village avec cette vision d'une maison bien habitée...
Une curieuse sensation nous envahit une fois dans Gourdon : l'envie de pureté, de simplicité. A 10 heures le matin, les touristes ne sont pas encore arrivés. Les boutiques ouvrent tout juste leurs portes, les artisans se donnent le bonjour avant de rejoindre leur comptoir. Est-ce l'air pur des sommets ? Une envie de naturel nous prend et j'ai trouvé de quoi satisfaire cette sensation chez
L'ESPRIT NATURE
La première boutique propose une foule de produits dans l'esthétique de la pierre et dans les fragrances de la Méditerranée et du massif sauvage. Mais dès que la propriétaire des lieux comprend ma quête, elle me guide alors vers la seconde boutique, encore plus vouée à la nature et aux produits issus d'une culture propre. Ici on ne parle pas de biologique mais on part du postulat d'écologie, de culture propre et intelligente, de produits purs et sains.... De ce changement d'appellations, les prix s'en ressentent et je vous engage vraiment à aller vous en rendre compte par vous-même !
Il y a des jours où de s'appeler Mimi, on supposerait le diminutif de Mireille....
Voilà toute une ligne de produits simples faits d'essences naturelles de plantes, de miel, de soleil. On vous les vend par correspondance, on vous conseille ; visitez le site internet qui vous les fait découvrir. Vous pouvez me faire confiance...
Sans m'en rendre compte, je suis restée un long moment à Gourdon. Un piège affectif sans nul doute. Et puis les touristes sont arrivés donc, vous me connaissez : je suis partie.
Nous sommes redescendus à Pont-du-Loup qui est à l'origine de Gourdon. Ce village, doté d'un joli pont sur lequel courait un petit train, a permis longtemps aux gens des villes du sud de venir s'oxygéner l'été, de venir prendre quelque repos au printemps ou à l'automne.
A l'attaque de la montage suivante dans notre voyage vers Vence puis Saint-Paul de Vence, le pont reste visible longtemps et de fort loin.
Partis le vendredi matin de bonne heure, nous avons pris la direction de Bourges sans nous presser. Nous avions un beau souvenir de cette ville où, voici deux ans déjà, nous avions séjourné lors du week end de la Fête de la Musique ; cette fois, le temps était moins chaud (nous avions deux mois d'avance par rapport à notre première visite) et, le dimanche, un petit vent frisquet nous a même poussés à enfiler une grosse veste, voire à remettre l'écharpe. Pour autant il n'a pas plu et nous avons pu nous promener tout notre soûl notamment le samedi après-midi car il faisait tout à fait bon dans les rues des vieux quartiers....
Les spécialistes de Bourges auront reconnu au passage "Les Trois Flûtes" où j'ai goûté de bien bonnes meringues !
Il nous fallait bien un petit réconfort car nous avions d'abord grimpé les marches de pierre de la tour de la cathédrale pour un petit périple sur la terrasse avec une vue imprenable sur tous les environs... Je vous épargne le 360° que j'ai pris mais si vous passez du côté de Bourges, faites cet effort : il vaut le détour... La prochaine fois, ce sera la crypte.
D'ailleurs, si quelqu'un parvient à traduire les bandeaux qui entourent le grotesque que j'ai photographié dans un angle sous les marches de l'escalier.... La construction a pris beaucoup de temps et les ouvriers, le soir, manquaient de télé pour s'occuper l'esprit. Donc, avant de dormir, ils se taillaient quelques figures dans la pierre et les ont installées dans la tour, marquant ainsi l'étage dont ils sont les constructeurs.
Le lendemain, dimanche, nous avons fait un petit tour dans les environs. Nous avions déjà vu Sancerre, nous avons opté pour le Bec d'Allier avec une bien belle vue depuis le pont-canal à écluses et deux rencontres : une aigrette et un héron que j'ai tenté de photographier .... de loin !!! Pardon pour la qualité des photos mais je m'amuse beaucoup à zoomer. Je vous préviens les photos à suivre seront moins bonnes encore.
Je n'ai pas pu photographier les animaux que j'ai croisés dans la campagne : pas mal de chevreuils, un joli renard un peu maigrichon qui, apercevant la voiture, a d'abord opté pour une branche pas encore suffisamment feuillue pour le cacher. On s'est observé de part et d'autre du bosquet et le renard, se sentant repéré, a opéré un quart de tour pour filer à travers champs...
Après cet agréable week end passé en charmante compagnie, il s'est agi de reprendre la route car notre voyage n'était pas terminé et nous devions rejoindre la Côte d'Azur. Donc, descente vers St Etienne et nuit du côté de Montbrison avant de prendre un terrain de plus en plus ensoleillé du côté de Valence avec ses arbres fruitiers en fleurs. Mais, par ce chemin, c'est la route Napoléon qui nous attendait : des kilomètres de virages et de tournants (ou de tournages et de virants car à la fin on ne sait plus très bien...). Pour un peu, d'ailleurs, on n'en voyait pas la fin car un camion, sachant que la voûte de la montagne accrocherait le haut de sa remorque, avait choisi de rouler à gauche et, croyez-moi sur parole, au détour d'un virage ça fait très drôle de piler pour éviter un camion.... Heureusement, nos freins sont bons et nous nous sommes arrêtés à quelques centimètres du parapet tandis que le camionneur, en côte, s'est arrêté brutalement aussi. Il n'a d'ailleurs pas pu repartir aussitôt : un frayeur rétrospective sans doute ?
Que l'on suivre la Drôme ou que l'on longe le Rhône, toutes les photos ont été prises en roulant ! Soyez indulgents avec la médiocre qualité de certains clichés ou avec les reflets qu'il peut y avoir parfois. Le diaporama que vous venez de feuilleter se termine par un très vaste lac auprès duquel habitent ma fille et sa famille. Pour autant, en route nous avons retrouvé la neige qui, parfois, ne se contentait pas des sommets et bordait la route mouillée sur laquelle nous roulions. Notre thermomètre passait de 5° à 18° avec des chutes spectaculaires sur quelques kilomètres seulement de temps en temps.
Fort heureusement, à cette période de l'année, les jours tardent à finir et nous sommes arrivés avant la nuit. En revanche, la soirée a été courte, nous coucher nous a fait beaucoup de bien !
Dès le lendemain, visites au programme ! Petite-fille à la main, nous avons commencé par la mer... Je l'aime tant, elle me manquait. La veille j'avais pris ma dose de montagne et je voulais bien voir comment elle est bleue la Méditerranée. Alors direction La Napoule et Cannes avec sandwich à midi et glace à quatre heures. Entre temps, essayage de maillots de bain (bah non pas moi... notre petite fée aux yeux sombres), choix d'un sac à main (il me le faut très, très léger Madame ! ) puis retour dans la montagne par une route tellement étroite qu'on a choisi de s'arrêter chaque fois qu'il arrive quelqu'un. Il sera toujours temps de s'habituer à flirter avec la paroi et le précipice demain... Là-bas, ils sont habitués mais pas nous... On a essuyé quelques mots d'oiseaux mais je ne traduirai pas, je ne parle pas couramment le provençal.
Ne pas perdre de temps, profiter du beau temps, se lever tôt pour accompagner les enfants et prendre la route pour mettre une visite le matin et une autre l'après-midi.... Ainsi, Gourdon le matin : un petit village perché sur un piton où les artisans et les artistes se partagent les petites boutiques et St Paul de Vence l'après-midi. De St Paul j'avais un souvenir délicieux car nous y étions allés le seul jour de beau temps que nous avions eu lors de notre premier séjour fin octobre. Cette fois, j'étais sûre de moi, avec un temps pareil ça allait être un régal ! C'est le seul moment où nous avons eu trois gouttes de pluie et une chute des températures.... Mais nous avons bien visité tout de même !
Ensuite nous avons fait une virée niçoise. Le vieux Nice, une pizza chez un Italien, les jardins dans les remparts.... une marche à pied sérieuse mais sous un ciel tellement clément !
Chaque jour a été illuminé d'un radieux soleil et chaque jour nous avons rempli chaque heure de visites, de balades, de photos. J'en ai ramené des centaines.... Je sais que vous me croyez sur parole !
Juste à côté de la maison, la montagne s'élève à 600 m et la maison est perchée, elle, à 400 m. Il y a donc un petit mont à aller visiter : le Mont Vinaigre où les bruits de la ville s'éteignent, où les moindres conversations entre deux randonneurs résonnent en toute indiscrétion. Des fleurs, du soleil, de la tranquillité et là-bas, tout au fond, la mer où se noie le ciel.
J'avais déjà eu l'occasion d'aller dans les parages mais en m'arrêtant à Cogolin, au ras de St Tropez, c'est à dire avant le massif de l'Esterel. En promenade de pèlerinage, nous sommes retournés à St Tropez que j'aime définitivement. Dommage que ces gros bateaux prennent toute la place devant Senequier et qu'en plus, ils grattent une partie du trottoir en s'organisant des vestibules cernés de plantes vertes en gros pots. C'est vrai, ça, on ne peut même plus marcher tranquillement le long de l'eau.... Mais du côté de la Citadelle, beaucoup moins de volontaires pour grimper jusque dans les jardins ; il est vrai que ça essouffle, j'en témoigne. Mais quelle vue !
L'aller étant "mer à ma gauche", prendre les photos n'était pas évident sans prendre au passage le nez de mon Hom ou le volant de la voiture. J'ai donc procédé inversement : nous voici d'abord à St Tropez (les maisons, la Place des Lices, ...) avec, au passage, le sauvetage d'un escargot bien menacé par la circulation et puis retour par la route départementale côtière qui distribue St Aygulf, Fréjus, St Raphaël etc...
Finalement on s'y fait très vite à ce changement de paysage. Si, si, je vous assure.... Moi qui ne prêche que par la mer, la Grande Bleue me va comme un gant ! Qu'il s'agisse de la photographier depuis les hauteurs de Nice,
qu'il s'agisse de la photographier du côté de Villefranche... ou depuis Biot
Avant notre départ, nous sommes allés aussi visiter Eze, un très joli village perché au sommet d'un piton quasiment à la frontière italienne. Avant d'y arriver, une vision magique sur la Méditerranée et, sur place, un jardin exotique à explorer au plus haut du village, là où les vertigineux commencent à se sentir un peu mal.
Et puis, il fallait bien s'y attendre, le jour J, le jour du retour a sonné un matin très tôt... Nous allions profiter de la reprise du travail de tous et de l'école pour quitter les lieux en même temps que les autres occupants. Pour rentrer, direction Aix-en-Provence d'abord puis tracé à travers les Cévennes avant d'accéder au Massif Central encore enneigé en bien des endroits. Puis, après une pause, la remontée s'est faite d'un coup plus rapidement : il n'y avait plus de montagnes à franchir !
Donc voici les photos du retour et vous réaliserez rapidement, en accédant à la plaine, que nous avons changé de paysages et d'habitats. Les fleurs se raréfient, les pommiers ne fleurissent plus, on retrouve les primevères dans les talus ... Bref, on remonte un peu le temps !
D'abord le retour par Aix jusqu'aux Cévennes avec un départ au petit matin aux lueurs d'un soleil matinal plein de promesses...
Et puis le retour des Cévennes à la Normandie via le Massif Central avec, au fond des oreilles, le bruissement des vagues le long de la plage de la Napoule ou dans le port d'Antibes....
Emmanuelle est désespérée : alors qu'elle passait le week end de Pâques au Château de Cerisy-la-Salle, sa petite chatte Katiou a été apeurée par un coup de vent et elle a filé ! Les recherches sont restées vaines mais le drame est qu'Emmanuelle a dû regagner la région parisienne (boulot oblige !).
Je vous mets ci-dessous la photo de Katiou. Elle est trop mignonne avec ses taches qui me rappellent tout à fait mon Felix et avec son petit nez rose !
Si vous êtes dans le secteur de Cerisy-la-Salle, si vous apercevez Katiou ou croyez l'apercevoir, tachez d'attraper cette petite chatte qui est stérilisée et qui est tatouée... Le numéro du tatouage pourra être comparé gratuitement par n'importe quel vétérinaire avec celui indiqué par Emmanuelle sur le site des chats perdus que je mets en lien.
D'ailleurs, il serait bon que je refasse une petite publicité pour ce site épatant : http://www.chat-perdu.org car les annonces permettent de retrouver bien des matous égarés.
Vous êtes nombreux à avoir aimé les photos que j'avais faites des marais inondés cet hiver. Vous êtes nombreux à m'avoir complimentée sur le blog que j'ai fait pour vendre ma maison. Mais vous auriez peut-être aimé venir voir, in situ, comment elle pourrait vous convenir ?
Pour votre hébergement, le temps de vos balades dans le département, le temps d'un séjour au calme de notre campagne, le temps de venir visiter la maison, je vous propose ces gîtes que gère une amie :
Une fabrication traditionnelle en terre de pays, des équipements intérieurs coquets et pratiques, des tarifs défiant toute concurrence....
Pour en savoir plus encore, rejoignez donc le blog qui les présente sous toutes leurs coutures.... et quand je dis "couture", le mot est choisi. N'est-ce pas Isa ?
Quand il y a qualité, je ne suis jamais avare de publicité. Or je vous ai déjà parlé de Nathalie Dentzer et je vous ai régulièrement envoyés sur son blog pour partager des informations. Notamment, je vous ai parlé de l'exposition de nos nanas.... et j'espère que vous avez pris bonne note ?
Comment pourriez-vous donc représenter ceci ?
Il vous faut : de l'observation, des conseils de dessin, un peu de matériel mais, surtout, de la TECHNIQUE ! Pour réunir tout cela, une adresse que vous rejoignez en cliquant ICI. Allez-y, vous saurez tout, tout, tout, vous saurez tout sur la broderie....
Jean-Luc Flambard, "récupérateur" qui redonne vie aux matériaux destinés au rebut et qui avait été l'un des initiateurs des "débordements exquis" en 2009 (recherchez sur mon blog ou reportez-vous à vos magazines préférés).
Il ne faut pas baisser les bras. Les clics ont diminué un peu depuis le début de l'année donc je compte sur vous pour faire suivre l'information. Allez sur le site, prélevez un logo et distribuez-le à vos amis pour qu'ils le mettent sur leur blog, sur leur site.... Ca ne coûte rien et surtout pas un sou alors pourquoi priver les pauvres petites bêtes en attente d'adoption de leurs deux repas par jour ?
C'était Fripon le chat taquin de Gigi qui aime les Sushis tandis que sur son lit
Sacha-le-pacha
ignore ce qui se dit et dort du sommeil du chat tranquille. Dans ces moments-là, je peux le toucher, lui regarder les pattes, écarter les doigts, fouiller la fourrure, fouiner dans ses oreilles.... Rien n'y fait :
Rrooo la la .... Suis-je tellement gentille qu'on me veuille autant de bien et que l'on me fasse autant de cadeaux ? J'en suis toute chamboulée...
D'abord, il y a eu ce petit rideau. Parfait pour ma salle de bain et je nourris le bel espoir d'avoir, dans ma future maison, une petite fenêtre donnant sur rue, rien que pour offrir cette merveille à la vue des passants.....
Mais ça n'était pas tout : en plus de ce joli travail de fil crocheté, il y avait aussi quelques boutons anciens, du fil à broder d'autrefois et deux bobines qui viennent s'ajouter à celles que je collectionne. Super, je n'en avais pas encore comme celles-là.
C'est à Vanessa que je dois ces attentions avec clin d'oeil au passé ! Alors, Vanessa, pour compléter la tienne de collection de bobines, j'ai choisi de t'en envoyer deux ou trois parmi celles achetées chez Claude Le Guen "Fleur de Lin et Bouton d'Or".Un blog et une boutique en ligne où il faut impérativement aller trainer ses bottines. Et quand on passe quelques jours à St Cast, on est juste à côté de la boutique de Claude..... Alors un détour s'impose !
Et puis, tout droit arrivé du Pas-de-Calais, un second paquet avec plein de surprises encore !
Une trousse en feutre qui va accueillir mes aiguilles à feutrer. Elles n'ont pas du tout aimé rester à l'air libre et se sont oxydées. Et puis des rubans imprimés, de la fibre Angelina verte pour rester dans les tons printaniers et un fil vert pomme qui.... sent la pomme quand on le brode ! J'en avais entendu parler mais je n'avais pas expérimenté... Merci Gigi !
C'était lundi et c'était chez Marie-Claire ! Une journée "plaisir", une journée comme on aime en déguster : entre copines qui parlent le même langage, qui s'émerveillent des mêmes choses. Une journée à tripoter des laines et à jouer de l'aiguille harpon pour faire entrer les laines dans le tissu.
Quoique.... il n'y a pas que les aiguilles...
Marie-Laure, elle, nous a fait une démonstration de feutrage à l'eau, au savon et au plastique à bulles. La technique s'appelle le feutre "Nuno".Et pour mieux nous faire apprécier la technique, elle nous a offert ceci !
Deux jolis morceaux presque assez longs pour devenir écharpes ou tour sde cou. Une petite fibule pourra les fermer. C'est pas beau ça ? Des couleurs qui se fondent les unes dans les autres, des taches de couleurs comme des petits espaces ensoleillés !
Donc moi, suivant la technique montrée par Marie-Claire, j'ai piqueté de mon aiguille un morceau de soie que les petits harpons ont fait friser délicieusement. Puis l'aiguille à feutrer m'a permis de faire pénétrer de la laine cardée, des longueurs de laine fantaisie et même des morceaux de dentelle. La dentelle ne se prête pas bien à l'exercice mais un petit morceau de mèche et le tulle synthétique finit quand même par se plier à nos exigences.
Il ne reste plus qu'à terminer de quelques broderies machine en piqué libre et j'aurai un joli petit tableau en longueur. Moi j'ai beaucoup aimé l'exercice.
Merci les filles !
Allez, les curieuses, je vous fais une fleur.... Cliquez ICI.