Coucou, me voilà !!! Eh oui, j'ai reçu un message qui disait "les vacances sont trop longues... chez les autres !" et qui me disait que mes articles commençaient à manquer dans le paysage
bloguesque. Je viens donc y remédier et vous faire part du pourquoi de cette absence... prolongée.
D'abord, il y a eu Noël. Est-ce que les fêtes se sont bien passées pour vous ? Chez moi, elles ont été calmes et en petit comité, l'absence des petits-enfants a été un peu difficile mais la raison l'emporte sur la frustration. Autant de kilomètres sur un temps trop court et avec un climat aussi hivernal auraient été risqués. Et puis, là-bas, il y avait les cousines et les petits cousins...
Alors, sitôt Noël franchi, nous avons fait une escapade consolatrice en Bretagne. Les températures n'ont pas été suffisamment clémentes pour que nous organisions des promenades en bord de mer mais nous avons apprécié qu'il ait fait un beau soleil et que le vent nous ait oubliés.
Petite promenade du côté de St Quay-Portrieux pour vous faire apprécier le calme de l'air, le plat de l'eau.
Un intermède dans le chahut climatique, une trève dans la tempête. J'adore. Un peu plus loin, sur les falaises et dans la lande, les travaux des champs ont repris. Le froid n'arrête personne quand il faut travailler ou .... se nourrir !
Mais par ce froid, il n'était pas question de trop s'éterniser dehors. Un retour à la maison bien chauffée et un bon café étaient l'aboutissement salvateur de nos petites sorties. D'autant que quelqu'un nous attendait de patte ferme....
Extraordinaire, non ? A peine avions-nous stoppé la voiture devant le portail que Poupette arrivait, entrait dans la maison et prenait ses quartiers. Elle aura donc profité, pendant cinq jours, de la tiédeur des pièces, du confort du canapé, d'une nourriture propre, saine et abondante. Elle aurait aimé rester plus longtemps encore mais rompre totalement avec son mode de vie habituel ne serait-il pas le meilleur moyen de ne plus pouvoir se débrouiller seule, une fois que nous serions repartis ? A voir la qualité de son poil et sa bonne forme, nous ne doutons pas qu'elle a une maison et une famille. La seule différence est que nous autorisons l'intérieur et fournissons à manger à la demande. Ailleurs, c'est peut-être plus rustique, "plus proche de la vraie vie de chat" comme dirait ma moitié.
Bisous à la famille, bisous aux amis et déjà sonnait l'heure de repartir. Heureusement, le temps restait ensoleillé et agréable pour
nous me faire accepter ce départ. Qui dit beau temps dit belle route....
même si la nuit tombe encore très tôt. Dès 17 heures, le ciel s'obscurcit lentement. On nous dit que les jours allongent déjà et j'en suis ravie. Quand le ciel est dégagé, la nuit tarde à s'installer et permet quelques couchers de soleil bien agréables.